Kevin Anderson

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KAPUSKASING – Le conseil de Kapuskasing étudie une demande du directeur général des travaux publics, Éric Côté, de demander au gouvernement provincial une prolongation des travaux d’amélioration de l’autoroute en cours afin d’inclure l’intersection du chemin Brunelle et le chemin du gouvernement (Autoroute 11).

« Donc, ce qui s’est passé ici, c’est que les prix que nous avons reçus pour le projet d’amélioration des routes, n’incluant pas les travaux de cette intersection, nous ont laissé environ un million de dollars en subventions », a déclaré Côté. « Donc, ce que nous avons fait est de concevoir un design et de budgétiser afin d’inclure les travaux de l’intersection. Si nous obtenons l’accord du conseil, nous procéderons ensuite à une demande de prolongation du contrat au gouvernement ».

Côté a déclaré que la subvention initiale était basée sur l’estimation préliminaire du coût du projet. En cours de route, la portée des travaux du projet a changé, ce qui explique la divergence.

« Nous avons eu de la chance dans ce cas avec le prix », a-t-il expliqué. « Nous avons depuis rencontré quelques problèmes qui nécessiteraient une prolongation du contrat. Comme il nous reste avec un tel montant d’argent, nous allons demander au gouvernement de nous permettre de remédier à ces problèmes maintenant ».

Côté a ajouté qu’il s’attendait à ce qu’une réponse du gouvernement pourrait être transmise dans l’espace d’environ un mois, si le conseil municipal donne son accord.

« Si cela doit aller de l’avant, nous allons faire appel à un entrepreneur et si le gouvernement dit non, nous arrêterons là où nous avions prévu auparavant », a-t-il indiqué. « Si tout se passe comme nous l’espérons, nous nous arrêterons à l’avenue LaSalle ».

Le responsable des travaux publics a déclaré que de se rendre jusqu’à l’avenue LaSalle permettrait d’éviter de futurs maux de tête en ce qui concerne le projet d’autoroute.

« La façon dont le système d’approvisionnement en eau est conçu et la nécessité de réaligner l’autoroute deviendraient beaucoup plus faciles en s’arrêtant à cet endroit », a-t-il déclaré. « Dans le cas contraire, nous arrêter à ce point créerait un désordre et constituerait un risque pour la sécurité ».